Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Management et bien-être au travail : tendre à l'équilibre ?
management
9 novembre 2015

Qu'est-ce que la motivation finalement ?

Sens ou motivation : se retrouver pour se centrer sur l'essentiel

 

Dalai lama 2

Un article pour parler de l'indispensable recherche de l'équilibre intérieur. Dans un monde où tout bouge très vite, où tout se transforme et bascule du jour au lendemain, nous devons avoir des fondations et des murs porteurs pour faire face et tenir le cap. Le bateau peut à tout moment couler, s'échouer ou simplement faire du sur-place. Il est nécessaire pour cela de regarder à l'intérieur de soi. Nous devons changer nos modes de pensées pour ne plus agir en fonction de l'extérieur et du futile mais en cherchant à l'intérieur de nous-mêmes la liberté et la vérité que nous avons tous. Stop à la superficialité, au paraître à l'image, aux standards de réussite basés sur l'argent. Retrouver pourquoi nous sommes à tel ou tel type de poste et en comprendre le sens. Suis-je en accord avec moi-même ? Sont-ce mes valeurs que je partage dans cette entreprise ? Comment est considéré l'humain... etc

Notre équilibre passe par l'indispensable prise en compte de plusieurs éléments qui nous composent fondamentalement. Se retrouver c'est se reconnecter à soi et arrêter d'accorder sa vie au diapason de ce que je vois, entends, touche, sens et goûte. Pour être ou redevenir maître de sa vie et de soi, il est déterminant d'acquérir, de pratiquer et de maîtriser certaines techniques. Techniques de communication, de gestion des émotions et du stress, des techniques sportives, la préparation mentale, le yoga, la méditation... Ne pas ou ne plus foncer pour détruire et écraser mais avancer avec sens, vérité et profondeur, simplement parce que la première attitude est destructrice et qu'elle est à ses propres limites et que la deuxième est la seule solution. Ne plus donner à l'extérieur le pouvoir de mon état interne. Les stimulations extérieures basées sur la réaction qu'ils génèrent sur nos sens ne doivent plus être à la base de notre soumission mais servir à notre bonheur.

Etre soumis réellement à ses sens et/ou à son mental est destructeur. Les pensées négatives, de colère, de haine, d'amertume et de ressentiment, les attitudes et croyances qui en résultent nous limitent et nous entraînent dans des situations qui nous reviennent en pleine figure à un moment ou à un autre sans que nous en ayons conscience. Combien de fois ai-je pensé que ce qui m'arrivait était injuste et que je n'avais pas pu créer ça. Bien sûr, nous n'en avons pas conscience et quand nous savons comment cela fonctionne, on préfère se voiler la face en disant que ce n'est pas possible. C'est la facilité, la peur du changement et le refus de l'ouverture sur le monde. C'est surtout la désagréable sensation de se voir dans la glace parce que c'est douloureux, très douloureux... 

pensee-positive

En revanche, les passions et les élans spontanés dictés par l'intuition sont positifs et peuvent nous "guider". La différence est subtile, l'intuition provient d'un autre sens différent que nos 5 sens physiques. C'est la capacité à ressentir les choses et à les ressentir vraiment de l'intérieur, de ressentir les choses "en avance" grâce à notre coeur. C'est un état de grâce naturelle. Ne plus se soumettre à l'extérieur c'est nous faire confiance. C'est retrouver son réel équilibre interne par notre force intérieure. C'est notre force personnelle, pas besoin de s'identifier, de paraître, de courrir pour chercher ce qui est dehors et l'avoir. Nous nous devons juste d'Etre nous-mêmes et d'arrêter de nous laisser voguer au gré des vagues et du vent.

Il est indispensable de vivre notre vie par nous-même et non pas par procuration. Donnerions-nous un chèque en blanc à un inconnu ? Arrêter la télé, utiliser son temps à s'enrichir la tête et l'esprit, se centrer et voir toute les belles choses qui nous entourent. Vivre l'instant présent pour être conscient de la chance que l'on a de respirer la vie et d'être en bonne santé. Avoir les yeux ouverts sur ce qui se passe ailleurs, être conscient des vrais problèmes, être dans l'empathie, l'écoute, la compréhension et l'altruisme. Ne plus subir le Diktat de l'information pré-mâchée. Reprendre la barre de nos vies en nous écartant progressivement de ce monde illusoire.

Se retrouver c'est justement se donner envie de faire les choses qui nous correpsondent et qui sont en ligne avec nos valeurs, nos croyances, nos attitudes. Et le peu de personnes qui font vraiment ce qu'ils aiment met en évidence la question du réel intérêt et du sens que nous mettons dans le travail que nous effectuons. Quel en est il ?

Sans sens pas de motivation réelle et durable. Que des pseudos motivations matérielles qui disparaissent une fois l'argent récolté. Tout ce qui est lié à ce moyen de motivation n'est qu'éphémère. La première source de motivation c'est la reconnaissance du travail bien fait, c'est le sens que je mets à faire mon travail, c'est l'intérêt que cette tache apporte au monde, les valeurs et les réussites partagées en cours, celles passées et à venir.

Etre en accord avec soi-même c'est la base. Ensuite peuvent venir se greffer les motivations extérieures : des collaborateurs qui me stimulent et me félicitent, un patron qui m'accorde de l'intérêt quand j'ai des solutions innovantes à proposer, une structure qui favorise l'humain et qui tient compte des spécificités de chacun. La motivation tire alors vers le haut et permets à chacun en étant en accord avec le groupe, de se dépasser tout en étant serein et humble dans la réalisation des missions.

Par quoi commencer pour se centrer ?

S'arrêter et faire une pause sur sa carrière, se centrer. Voir et prendre conscience de ma situation, de son évolution probable, et faire des projections. Suis-je aligné et en accord avec moi-même ? A partir de là seules deux solutions sont possibles : soit tout va bien et je continue soit tout ne va pas forcément si mal maintenant mais l'inaction qui en résulte ne m'apportera que ce que j'aurai finalement mérité. Une solution : agir et bouger.

La motivation c'est juste faire ce que l'on aime, pas besoin d'aller chercher des concepts fumeux. Et c'est fluctuant. On peut se lasser, on peut changer d'aspiration, on peut être curieux et vouloir apprendre toujours de nouvelles choses. C'est plus ou moins d'ailleurs tout l'enjeu. Le changement et le risque sont indispensables si l'on veut grandir et évoluer. L'instabilité finalement est génératrice d'innovation, de créativité, de recherche. Nous sommes faits et conçus pour être bien et heureux. Trop de sécurité tue la sécurité. 

Etre motivé c'est accepter parfois de prendre des risques, n'est-ce pas finalement le changement permanent toujours partout et tout le temps !

 

Publicité
5 novembre 2015

Burnout : existe t'il des prédispositions ?

Burn-out

 

Quel est le terreau" fertile" de part et d'autre qui produit le burnout ?

Deux parties : l'entreprise et le salarié. Plusieurs cas de figures existent. Pour ce qui concerne le salarié, deux facteurs importent : son parcours de vie ou son histoire personnelle et l'environnement de l'entreprise en tant que tel. La volonté des employés recrutés est souvent la même au départ, s'impliquer et grandir au sein de son entreprise, celle de l'entreprise est de permettre à sa nouvelle recrue de s'intégrer, de trouver sa place dans l'organisation et de devenir productif le plus rapidement possible.

Existe t'il des pré-dispositions ?

Le salarié met à disposition de l'entreprise sa force et son temps de travail moyennant une rémunération. A partir de quel moment ce lien de subordinnation peut-il devenir un risque pour le salarié ? Les parcours de vie, les failles, les fissures de certains les amènent à vouloir compenser ces problématiques par un comportement caractéristique. Besoin de se prouver à soi-même et aux autres une certaine capacité à être performant certes mais à l'être plus que les autres. Cet état d'esprit est compliqué à gérer pour les deux parties. Pour le salarié qui n'est pas forcément conscient de sa problématique, l'entreprise qui ne sait comment aborder ces profils volontaires, engagés, toujours prêts à accepter de nouvelles missions, de nouvelles tâches, de nouvelles responsabilités mais qui sont aussi un peu "envahissants" parfois. Souvent les managers n'ont pas les clés pour accompagner ces personnes et restent démunis. Ces personnes sont également malgré tout "à part" et peuvent forcément gêner la bonne marche de l'entreprise. C'est là qu'intervient justement le rôle de la deuxième partie concernée par ces problématiques humaines : l'entreprise.

Soit celle-ci voit en son personnel une vraie ressource et un capital principal. Elle constate à travers son équipe managériale que le problème est à prendre en considération, soit elle le néglige, voire en profite. Le prendre en considération c'est l'attitude responsable que doivent avoir toutes les organisations. Sans prise en compte, il est impossible que les choses s'arrangent ni pour les uns ni pour les autres. Le rôle du manager est déterminant dans la partie relationnelle bien évidemment. C'est lui qui est à même de déceler des comportements à risque. Pour cela, il faudrait qu'il ait le temps de connaîtres ses équipes, ce qui n'est pas toujours le cas. Le présentéïsme est un phénomène simple et répendu qui peut donner des signes clairs des personnes qui sont en déséquilibre et qui risquent de se mettre sur un chemin qui mène directement au burn-out. Les symptômes sont aussi des indicateurs clairs :  isolement, migraines, lombalgies, acidité gastriques, fibromyalgie, agressivité, irascibilité...

N'oublions cependant pas que le burnout comporte plusieurs causes très simples :

1- terrain à risque lié à la personne ou à l'entreprise ou au deux,

2 - manque de sens,

3 - non-reconnaissance de l'effort,

4 - stress permanent lié à la pression du résultat,

5 - méthode managériale plus ou moins harcelante,

6 - Directions qui laissent faire ou qui favorisent.

 

briser-chaines

Comment limiter l'impact ? Ne pas attendre le clash. Le salarié doit pouvoir s'écouter et si possible se rendre compte des situations ubuesques dans lesquelles ils se retrouvent parfois : aucun temps personnel, horaires impossilbes (6h- 22H) symptômes et douleurs physiques, insomnies permanentes, pertes d'appétit... Ces symptômes sont caractéristiques. Le salut du salarié doit passer par une prise de conscience : il faut s'écouter dans ces moments là ! Il doit pouvoir s'affirmer, savoir dire non et refuser les tâches, les responsabilités, les missions qui mettent sa santé en danger.

De son côté l'entreprise de ne pas produire ce terrain fertile qui fera tomber les plus exposés et également ceux qui ne le sont pas au départ. C'est elle qui ne doit pas laisser faire, qui ne doit pas se mettre la tête dans le sable. A elle de ne pas faire passer la performance avant l'humain, à elle de connaître ses équipes et de gérer les risques psycho sociaux, le stress permanent et les burnout "potentiels".

A chacun de se prémunir, car le prix à payer pour le salarié, sa famille, l'entreprise et le système sociétal dans son ensemble est catastrohique.  Suicide, licenciment, longue maladie, absentéïsme, atmosphère exécrable dans les équipes, perte de performance incalculable. Comment faire comprendre aux entreprises que l'humain est la seule ressource qui ne compte pas au bilan mais qui permet à l'entreprise de prospérer ou de fermer.

Pour terminer, j'ai eu hier matin un échange très fort à la suite de la parution de mon premier article que j'ai publié ici.

Une personne au téléphone me fait par de sa situation de harcèlement. Elle a déjà fait une tentative de suicide. Bien que cela soit le résultat de méthodes d'intimidation à vomir de son entreprise, cette personne ne doit pas cacher les deux faces d'un même mirroir. Ancien sportif de haut niveau, je comprend qu' "il"à une recherche perpétuelle de performances hors-normes. Quelles en sont les causes ? Au-delà d'être des calamités bien présentes, le burnout et la situation de harcèlement doivent aussi être compris comme des signaux d'alarmes personnels que doivent voir les personnes concernées et surtout leur proches. Elles doivent impérativement, prendre le recul nécessaire à la compréhension du "pourquoi j'en suis arrivé là".

Pour l'entreprise comme pour le salarié, le faire plus, plus vite, mieux avec moins comporte ses propres limites...

Stéphane DABAS - BETOOHAV

 

8 octobre 2015

La délégation 1er outil pour le manager leader ?

La délégation 1er outil pour le manager leader ?
"Le meilleur manager est celui qui sait trouver les talents pour faire les choses et qui sait réfréner son envie de s'en mêler pendant qu'ils les font". F.D Roosevelt Savoir déléguer est un des pilers du manager leader. Les 8 principes incontournables...
7 octobre 2015

Mal-être au travail, burn-out, RPS rien ne vas plus ? Quelles sont les leviers à activer pour sortir de cette logique ?

Mal-être au travail, burn-out, RPS rien ne vas plus ? Quelles sont les leviers à activer pour sortir de cette logique ?
Qu'est ce qui fait que les entreprises deviennent des lieux où les personnes en arrivent : - à se suicider, à être en dépression chronique, à être incapable de revenir travailler après un burn-out, - à être souvent contraint de privilégier leur carrière...
29 avril 2014

Implication des salariés : engager au quotidien ou prévenir le désengagment ?

Implication des salariés : engager au quotidien ou prévenir le désengagment ?
L'engagement représente un des s ujets majeurs en période de crise. Les conséquences du désengagement : les commerciaux ont plus de mal à vendre, la communication est compliquée voire impossible en interne, l'absentéïsme augmente, le turn-over également......
Publicité
4 novembre 2013

Les 5 rituels matinaux pour vivre ses journées en conscience !

Les 5 rituels matinaux pour vivre ses journées en conscience !
Les 5 bonnes habitudes du lever pour des journées harmonieuses 1 - Boire de l'eau au lever : pas de quantité imposée, juste se réhydrater après la nuit car notre corps consomme de l'eau en transpirant toute la durée du sommeil. Avoir une bouteille à portée...
28 octobre 2013

Le bien-être au travail commence dès le lundi !

Le bien-être au travail commence dès le lundi !
Bonjour à toutes et à tous, Quelques astuces pour les lundis parfois difficiles Grand principe Le matin dès le lever Commencer sa journée en créant une atmosphère positive et inspirante. Ecouter de la musique douce, faire quelques étirements (tranquillement...
4 octobre 2013

Le stress outil de performance ou fléau contemporain ?

Stress or no stress that is the question ?

Sujet largement débattu sur les réseaux, dans les médias et dans les entreprises, le stress est depuis quelques temps soumis à rude épreuve !

Le terme de stress doit-il être associé à une connotation péjorative ou est-il, comme l'affirme certains, un moyen d'atteindre plus de performance, un moteur permettant à tout un chacun de se dépasser ? Et si oui, jusqu'où ?

Les réponses à ces questions dépendent en fait à la fois de la personne à laquelle on la pose, le poste qu'elle occupe, sa carrière, ses responsabilités et son engagement dans telle ou telle organisation. En fait les réponses données dépendent avant tout de la manière de voir la vie, la réussite, le parcours personnel et professionnel ainsi que l'approche des phénomènes liés au stress.

Moteur ou fléau ?

Pourquoi le stress représente pour certains un moteur ou un levier de performance et pour d'autres il est source d'angoisse, de peur, d'échec, de risque psycho-social ?

Le rôle du management


Jusqu'à un certain niveau, le stress pourrait peut-être qualifié de moteur effectivement, de contrainte qui pousse certaines personnes à agir plus ou à être plus dynamique et entreprenante que d'autres. Certains ont en effet besoin d'être boosté, motivé, poussé, dirigé. Mais n'est-ce pas le rôle du management de connaître les hommes qui composent les équipes ? Ne doit-on pas, en l'ocurrence savoir adapter notre attitude, notre comportement, bref nos relations humaines en fonction des personnes à qui on s'adresse ? Travailler sur du cas par cas semble souvent trop fastidieux et trop énergivore, la tendance étant tellement souvent sur la gestion à court terme, il est logique que la connaissance de l'humain au sein des équipes ne soit pas la priorité.
Et pourtant... Plusieurs études démontrent clairement que le stress et les phénomènes qu'il engendre sont une cause majeure de perte de performance, de rentabilté, d'argent. 

Reste effectivement à savoir où commence le risque qu'il représente, encore une fois pour certains et pas pour d'autres. Ce qui est certain c'est que ce sujet s'il est mal abordé, est le terreau de malentendus, de conflits, de risque psycho-social, de burn-out.

Il me semble, mais cela est très personnel, que le stress est un terme à vocation négative. Ne pourrait-on pas utiliser "mettre une pression positive", la capacité à motiver, à développer, à engager les collaborateurs ?

 

Quelles sont les causes du stress ?
"Le fameux pourquoi suis-je tout le temps stressé(e) ?

Pourquoi est-il source de malentendus, d'incompréhension, d'interprétation ?

Tout d'abord il a longtemps été considéré comme un sujet tabou. Jusqu'à ce que pose de vrais problèmes de souffrance au travail avec les nombreux cas de suicide dans des grands groupes très connus.

Les origines du stress sont internes et/ou externes, liées au présent par les émotions provoquées par certaines attitudes ou comportement dans certaines situations, liées au passé par rapport à un parcours personnel difficile (enfance, adolescence) et pour finir lié au futur quand des d'évènements à venir sont source de changement (naissance, licenciements, changement d'organisation...

Le passé est la source de stress, la plus compliquée à gérer. Il s'agit en fait de notre histoire dont il s'agit, de notre personnalité, de notre vécu. Nos comportements et habitudes se sont transformées en croyances avec le temps et il s'avère difficile de les modifer sans l'accompagnement d'un spécialiste. Gandhi disait : "nos pensées font nos actes, nos actes font nos attitudes et nos comportement, nos attitudes & comportements font nos croyances et nos croyances font notre destin".

Le stress dans le moment présent est principalement lié aux émotions. Celle-ci sont provoquées, elles créent des réactions souvent aussi inattendues que l'évènement ou la personne qui les a provoquées. La situation vécue à ce moment présente peut ramener au passé d'où parfois des réactions fortes voire violentes. Ces deux types de réactions sont simples et de deux ordres : la fuite ou le combat.

Pour le futur proche (la journée, semaine ou mois) ou moins proche (3 à 6 mois, 1an ou plus) le changement est la source principale de stress. Chaque situation devant changer tout de suite, demain ou après-demain est source de peur, d'inconnu, d'incertitude et d'angoisse.

 

Comment mieux appréhender ces situations présentes et/ou futures ?

stop stressing

En prévoyant, en relativisant surtout, en prenant les différents éléments de stress et en les classifiant par ordre d'importance de manière à les remettre à leur place, dans le temps, et dans l'espace. Qu'est ce qui finalement n'est pas si important ? Se préparer au pire est une autre façon de voir les choses. Pour certains cela peut être perçu comme négatif. C'est à considérer selon la personnalité de chacun.

Des techniques de respiration, de pleine conscience, de méditation sont des solutions éprouvées pour réussir à gérer le stress afin de ne pas en être dépendant. Le but est justement de relativiser, de se recentrer sur soi et de ne pas permettre à l'extérieur de nous impacter en traîtant à la source le problème.

Il faut avant tout préserver votre énergie. Le stress a entre autres comme effet de vous contracter, de vous "bloquer" au niveau des trapèzes, des épaules et du cou.

 

1/ La respiration consciente pierre angulaire

Vous devez retrouver une vraie respiration consciente en inspirant profondément et en relachant le haut de votre corps à l'expiration. La respiration est la pierre angulaire de toute technique de gestion du stress.

Que ce soit le yoga, la sophrologie, la relaxation, la méditation, toutes ces pratiques (et il y en a d'autres !) sont basées sur la respiration. Entraînez-vous à respirer... comme un bébé, soit avec l'abdomen.

Détendez le haut de votre corps grâce à ces techniques est déja excellent et cela peut se faire presque n'importe où.

2 / Le sommeil et le repos

Se reposer (y compris au bureau par des micros-siestes de quelques minutes) et bien dormir sont des très gros facteur de réduction du stress. Un bon sommeil réparateur est un moyen simple et efficace. Conseil allez sur youtube et tapez relatxation ça vous permettra de trouver des entraînements simples et à la portée de tous et vous permettra d'avoir un sommeil de meilleure qualité.

3 / Le sport

Vous dépenser sans vouloir aller dans la souffrance, sans forcer et en tenant compte de ce que peut vous dire votre corps (début de douleurs, courbature, contractures...) est aussi un bon moyen d'évacuer les tensions. Chacun à son niveau.

N'hésitez pas à ajouter vos commentaires, idées, solutions complémentaires.

 

En espérant que cet article vous a plu sachant qu'il est loin d'être exhaustif.

 

Publicité
<< < 1 2
Publicité
Management et bien-être au travail : tendre à l'équilibre ?
Visiteurs
Depuis la création 95 105
Publicité